La performance électrisante de Dakota Striplin dans The Voice
Quand Dakota Striplin est monté sur scène, personne n’aurait pu prédire ce qui allait se passer. Guitare acoustique en bandoulière et une posture sereine et assurée, il ressemblait à n’importe quel candidat plein d’espoir. Mais dès qu’il a entamé le premier accord de Can’t Help Falling in Love, la salle a basculé.
Sa voix – riche, veloutée et étrangement proche de celle du King lui-même – a fait froid dans le dos. La ressemblance était troublante. Les coachs ont échangé des regards, leurs yeux s’écarquillant sous le choc. En quelques secondes, une chaise a pivoté. Puis une autre. Et encore une autre. Lorsque Dakota a atteint le crescendo endiablé de la chanson, les quatre coachs se sont retournés et se sont levés, émerveillés.
La performance n’était pas seulement impeccable techniquement, elle était surnaturelle. C’était comme si Elvis Presley était monté sur scène, ressuscité. La sincérité de la voix de Dakota, sa voix rauque et naturelle, sa façon de personnaliser chaque parole – c’était magique.
Alors que la dernière note s’estompait, un silence électrique s’est abattu sur la salle avant que le public n’éclate en un tonnerre d’applaudissements. Un coach, encore essoufflé, s’est penché en avant. « Dakota… ce n’était pas une performance. C’était une expérience. »