Mon mari invitait régulièrement des amis et des connaissances à passer la nuit chez nous. Ma patience a éclaté quand j’ai vu que dans la baignoire ce n’était pas mon mari qui se baignait, mais un autre homme ! À ce moment-là, j’ai décidé de donner à mon mari une leçon qu’il méritait pleinement et dont il se souviendrait toute sa vie.
Au début, j’essayais de me taire. Mon mari invitait régulièrement des amis et des connaissances à passer la nuit. Chaque fois je lui rappelais : « Je suis fatiguée de laver le linge et de nettoyer après eux ! » — mais en réponse j’entendais toujours la même chose : « Ça ne se reproduira plus ». Et tout recommençait.
Ma patience a éclaté ce matin-là, quand j’avais décidé de faire plaisir à mon mari. Je pensais : puisqu’enfin il n’y a personne, nous pouvons passer du temps ensemble, même prendre une douche à deux. Mais en ouvrant le rideau de la salle de bain, je me suis figée. Dans la baignoire, plongé jusqu’aux oreilles dans la mousse, ce n’était pas mon mari, mais un autre homme !
Le choc fut si fort qu’il y eut un déclic en moi. J’ai compris : il était temps d’agir. Et j’ai imaginé quelque chose qui ferait regretter à mon mari chacune de ses « soirées d’hospitalité ».
Ce que j’ai fait exactement — je le raconterai plus tard. Et vous, dites-moi : mon mari méritait-il la leçon ou ai-je exagéré ?
Toute l’histoire — dans le premier commentaire.
J’ai décidé d’agir durement, mais avec ruse. Ce jour-là, j’ai calmement fermé la porte de la salle de bain et fait comme si de rien n’était. Mon mari n’a même pas remarqué mon étrange silence.
Et la nuit, j’ai préparé une petite « surprise ». Quand une fois de plus il a invité des amis à dormir, j’étais déjà prête : j’ai retiré les draps, enlevé les oreillers et les couvertures, et sur le lit j’ai laissé une énorme affiche avec l’inscription : « Bienvenue à l’hôtel ! La machine à laver est à droite, le ménage — selon le planning ! ».
Les invités étaient déconcertés et mon mari est devenu rouge jusqu’aux oreilles. Il essayait de plaisanter, mais ce soir-là, la seule à rire, c’était moi. Depuis, plus personne n’a passé la nuit chez nous sans prévenir.
Et vous savez quoi ? Parfois, pour se faire entendre, il ne faut pas de larmes ni de supplications, mais une petite mise en scène.
Alors maintenant la question est : ai-je bien fait ou ai-je exagéré ?